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Věty v jazyce francouzština s audionahrávkami (celkem 9 833)

fra
Vous êtes grand.
fra
Tu es grande.
fra
Tu es grand.
fra
Je mange.
fra
Ils sont en classe.
fra
Qu'est-ce qui ne va pas ?
fra
C'est vous qui l'avez fait !
fra
C'est toi qui l'as fait !
fra
Sois gentil avec elle.
fra
Pourquoi as-tu démissionné ?
fra
Me voici.
fra
Montez.
fra
Monte.
fra
Elle l'appelle toutes les nuits.
fra
Où suis-je ?
fra
Es-tu japonais ?
fra
Êtes-vous japonais ?
fra
Je pense que tu as tort.
fra
Quel est ton nom ?
fra
Nous l'avons vu.
fra
Tom affirmait, à en juger par le verbe devant lui, que la phrase était au passé tandis que Mary voyant le participe sous ses yeux, jurait que c'était un présent.
fra
Le destin de Tom et Mary hantait sans cesse l'auteur, accablé par sa propre impuissance à en assumer le poids.
fra
Par cette phrase, l'auteur signifiait à Tom et Mary que leur destin lui échappait, puisqu'il ne comprenait pas le sens profond de ses propres phrases.
fra
Tom et Mary ne comprenaient pas le sens profond de la phrase dans laquelle ils se trouvaient pourtant et se dirent que ce devait être vraiment dur de comprendre le sens de phrases où ils ne se trouvaient pas.
fra
Tom et Mary recherchaient la phrase inconnue et se demandaient qui en était l'auteur.
fra
Ouvre tes yeux.
fra
Qu'est-ce qui t'inquiète ?
fra
J'aime chanter.
fra
Je le regarderai.
fra
Relaxe !
fra
J'ai peur des ours.
fra
Ils se sont embrassés.
fra
La porte s'est ouverte.
fra
Les traducteurs allemands, toujours en retard, n'avaient pas encore traduit cette phrase et Tom et Mary s'inquiétaient de savoir s'ils devraient passer par une autre traduction pour atteindre la phrase en lojban.
fra
Mary et Tom se disputèrent au sujet des étiquettes controversées à appliquer à cette phrase.
fra
Mary se demandait si elle comptait pour Tom comme un simple mot ou comme une vraie personne.
fra
Tom, comme à son habitude, traînait en début de phrase, tandis que Mary, déjà douze mots devant lui, se trouvait maintenant en son milieu.
fra
Tom, dix mots en arrière, ne voyait pas bien ce mot-ci. Mary, qui était plus près, le lui décrivit.
fra
Tu as mangé ?
fra
Jusqu'à leurs noms, à lui et à elle, furent désormais oubliés dans les phrases.
fra
Tom de Mary et Mary de Tom étaient alternativement le sujet et l'objet.
fra
Le mot que Tom et Mary cherchaient, ils ne le trouvèrent qu'à la fin de la phrase, car c'était le mot « perdu ».
fra
Tom et Mary s'apprêtaient à plonger, du bord gauche de la phrase, dans l'infini corpus, lorsqu'ils virent au-dessous un banc de contributeurs affamés, les dents dehors, prêts à leur sauter dessus et à déchiqueter leurs fautes jusqu'à la dernière.
fra
Cette maligne de Mary improvisa un saute-mot, qui était une méthode beaucoup plus efficace de déplacement dans les phrases. Elle en avait ainsi déjà sauté trois, dont un premier très haut.
fra
Pour passer d'une phrase à l'autre, Tom tendait son bras. Mary le saisissait fermement et sautait par-dessus le point en évitant de tomber dans l'espace.
fra
Tom et Mary se retrouvèrent alors côte à côte au début de cette phrase et entreprirent de l'explorer.
fra
Mary, cette espiègle, vint coller son nom au début de cette phrase, pour ne pas en laisser le monopole à Tom, alors que ce n'était pas du tout nécessaire.
fra
S'étant réconciliés après une longue brouille, Tom et Mary se retrouvèrent au milieu de cette phrase.
fra
Mary, ayant exilé Tom, fut promue au début de chaque phrase.
fra
« Comment oses-tu m'exiler à la fin de cette phrase ? », demanda Tom.
fra
J'ai une nouvelle voiture rouge.
fra
« Tom ! Réalises-tu que ces phrases sont très égocentriques : Elles commencent ou finissent toujours par toi ! Voire les deux ! », reprocha-t-elle à Tom.
fra
Tom ergotait à propos des phrases le concernant alors que Mary faisait du mieux qu'elle pouvait pour les traduire.
fra
Tom, désespéré, hurla : « Mary ! Où es-tu ? » depuis l'extrémité gauche de la phrase. « Je crains de n'être désormais totalement à l'opposé de toi », répondit sèchement Mary.
fra
À force de repousser les mots vers le début de la phrase, il ne resta plus qu'eux deux à la fin : Mary, Tom.
fra
« Tom ! » « Mary ? » « Est-il possible que nous soyons jamais plus proches que dans cette phrase ? »
fra
Tom, seul, penché au bord gauche de la phrase, hésitait à sauter, pour en finir avec toute cette histoire.
fra
Lassée d'être l'objet des accusations de Tom, Mary s'enfuit en France dont la langue ne connaît pas de cas accusatif.
fra
Nos deux héros ayant déserté cette phrase, leurs aventures semblaient bien vouloir se terminer précisément à ce mot-ci.
fra
Lui parti, Mary resta donc seule dans cette phrase-ci.
fra
Tom se demandait ce qui l'attirait tant à la fin de toutes les phrases et pensait : « Reviens vers moi, Mary ! »
fra
Tom, laissé seul au début des phrases, n'arrivait pas à s'habituer à l'éloignement croissant de Mary.
fra
Frustré de n'être plus l'objet exclusif de ses désirs, Tom relégua Mary.
fra
Mary dit à Tom: « Commençons par une petite phrase et puis nous verrons bien...»
fra
Quoi de mieux que des phrases, pour lier connaissance ?
fra
C'est par une première courte phrase que Tom fit la connaissance de Mary.
fra
Tom et Mary n'en étaient pas à leur première phrase.
fra
Loin de n'être que l'objet de leur relation ambiguë, Mary était le sujet de toute l'attention de Tom.
fra
Tom baisait Mary tout en traduisant cette phrase sur son terminal Android.
fra
Tom savait bien que dans toutes les phrases, le dernier mot serait toujours pour Mary.
fra
Cet idiot de Tom aurait dû se douter que le dernier mot de cette phrase serait évidemment pour Mary.
fra
Tom n'avait plus qu'un mot à couper pour que de cette phrase, à jamais, disparaisse notre Mary.
fra
Mary tentait de pousser les mots vers l'autre extrémité de la phrase pour faire tomber Tom.
fra
Tom, ce lourdaud, se tenait à une extrémité de cette phrase, tandis que, trop légère pour le contrebalancer, à l'autre bout, se tenait Mary.
fra
On garde contact.
fra
C'est un bon médecin.
fra
C'est juste.
fra
Est-ce que je peux aller au lit ?
fra
Reste où tu es.
fra
Lorsque Tom ouvrit la porte, il vit Marie se tenant là, avec un pack de six et une pizza.
fra
Le fruit s'est avarié.
fra
Qui a cassé la fenêtre ?
fra
J’ai toujours faim.
fra
Faites ça comme ça.
fra
Je veux que lui parte.
fra
Je veux qu'il parte.
fra
J'espère que non.
fra
Quand vas-tu partir ?
fra
Nous sommes quittes.
fra
Il a atteint son but.
fra
T'es fâché avec l'algèbre de Boole ?
fra
Il a abandonné tout espoir.
fra
Tu as un stylo ?
fra
J'ai regardé autour de moi.
fra
Je n’ai pas le temps.
fra
J'ai oublié.
fra
Nous y sommes presque.
fra
J'en ai fini.
fra
Je veux m'amuser.
fra
Je voudrais un peu d'eau.