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Notre langue plusieurs fois millénaire a toujours subit l'influence des langues des oppresseurs successifs à travers l'histoire. Elle a fait de l'oralité son instrument de résistance dans l'espace et dans le temps, c'est pourquoi on la retrouve aujourd'hui dans toute cette région Nord africaine. La transition de langue orale en langue écrite n'a pas été facile pour autant. Des problèmes d'ordre linguistique et politique ont surgit pour compliquer d'avantage cette mission porté, entre autres, par les universités de Tizi Ouzou, Bejaia en Algerie, Inalco en France et dans sa dimension politique par le Mouvement Culturel Berbère. Si le consensus des universitaires est de promouvoir cette langue ancestrale dans une trajectoire pyramidale pour en arriver à la standardisation, certains politiques ont portés un coup presque fatale à la dynamique d'un siècle de recherche et de travail pour tenter de distinguer le kabyle du Berbère. C'est la plus grande escroquerie intellectuel contre la justesse du travail universitaire. Aujourd'hui, en 2019, nous n'enregistrons aucune thèse allant dans le sens des séparatistes du MAK.