
elfes/Elfes ... en pointe.

Il y a deux oreilles, non ?

et pourquoi « elfes » ? Les Français ont une majuscule...

Esprit de taille infime mais d'une puissance redoutable, symbolisant les forces de l'air, du feu, tantôt vivant dans l'air et bienfaisants, tantôt vivant au centre de la terre et malveillants.
Elfe adroit, léger.
Couronnés de thym et de marjolaine,
Les e l f e s joyeux dansent sur la plaine
(LECONTE DE LISLE, Poèmes barb., 1878, p. 100).
Le langage saxon atteste l'existence dans les plus antiques légendes septentrionales des génies de toute sorte. Il y avait les « duns-elfen » ou e l f e s des plaines, les « berg-elfen » ou
e l f e s des collines (BOURGET, Ét. angl., 1888, p. 101) TLF
Par analogie avec le( peuple de)s Français qui parlent le français, on peut considérer qu'un peuple des E l f e s (surtout depuis Tolkien mais auparavant aussi) parle l'elf(iqu)e.
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En effet, notamment au cinéma, récemment, les elfes et les elf(in)es ont deux oreilles (ils sont anthropomorphes, non ?) en (forme de) pointe. Ils en auraient soixante que cela ne changerait rien à l'orthographe de pointe !

Bon ben moi je considère que les Elfes forment une nation, dans leur monde (au milieu d'autres nations de Nains, de Trolls...), au même titre que les Français, au milieu des Anglais ou des Allemands. Donc ils ont droit à une majuscule. Je ne sache pas qu'il faille grammaticalement ségréguer les peuples imaginaires...
Quant à en pointe/pointes, vous n'apportez aucun élément de règle de grammaire pour nous éclairer. Je ne connais pas de telle règle, et, de fait, je trouve des références assez nombreuses de la forme au pluriel, justement, entre autres, dans de la littérature parlant des Elfes, sur Google Livres https://www.google.fr/search?hl...m=bks&start=10
Faut-il considérer tous ces ouvrages en erreur ? En vertu de quelle règle ?

Encore une erreur dans votre précédent commentaire : "Je ne sache pas que ..." n'est pas du bon français, que je sache !
Êtes-vous bien sûr d'être francophone ?

C'est vous qui n'êtes pas un vrai francophone, et c'en est la preuve, par ce que cette forme est parfaitement licite et usitée, si vous avez la curiosité de faire des recherches simples.
Le subjonctif employé ici exprime une atténuation de la conviction. Une forme de politesse qui vous est à l'évidence étrangère.
Savoir manier le subjonctif et ses différents cas d'emploi, exprimant l'incertitude, est définitivement une preuve d'éducation française.
Vous y avez lamentablement échoué...

et voici la preuve que vous ne connaissez pas le français comme un natif :
https://www.google.fr/search?hl...fe=off&tbm=bks

Le papier se laisse écrire, la toile aussi, d'après votre lien.
Il n'en demeure pas moins que je reste sur mes positions, même si je connais, par exemple :
http://parler-francais.eklablog...ache-a58651295 ,
l'abus du subjonctif étant dangereux pour la langue française.
Et si je ne suis pas un "natif" (anglais traduit ?), suis-je un "migrant" ?

Il n'y a aucun abus.
Et votre lien indique bien : « Ainsi la phrase de Marivaux Je ne sache pas que vous ayez rien à vous reprocher (notez le double emploi du subjonctif) correspond à Vous n'avez rien à vous reprocher, que je sache, après que l'on a fait passer je sache dans la proposition principale, accompagné de la négation. Dans les deux cas, l'énoncé Vous n'avez rien à vous reprocher est atténué par le recours au mode dubitatif. »
Or c'est bien ce que je vous ai indiqué : l'emploi du subjonctif, dans ce cas (et je suis absolument ravi de partager cet usage avec Marivaux), exprime bien une atténuation, et est donc une forme de politesse qui vous échappe. Pourquoi n'en suis-je pas étonné ?
Je vous laisse à vos ignorances euro-régionales.

J'ignore si vous êtes un "migrant", ce n'est pas mon affaire.
Je constate juste que vous ne connaissez pas l'usage dubitatif du mode subjonctif, alors que moi je l'ai toujours connu et j'ai fréquenté l'école de la République.
Peut-être avez-vous séché des cours...
Ce que je sais, en vivant en Belgique depuis une dizaine d'années, c'est que les Belges francophones, sous la forte influence du néerlandais qui ignore le mode subjonctif, ne l'emploient qu'à titre « zombie ». Ils le comprennent plus ou moins (ils ne comprennent pas son imparfait), mais trouvent son usage pédant. Ils disent donc « il faut que je vais ».
Moi je ne suis pas belge, et je ne vais pas me priver de la richesse qu'apporte ce mode, si bien préservé en espagnol.
Je présume que plus on s'éloigne du sud-ouest de la France, moins on emploie naturellement le mode subjonctif...Ceci devrait être en théorie atténué par l'éducation républicaine, par définition uniformisante, mais vu le niveau aujourd'hui, je pense que le subjonctif n'est même plus au programme nulle part...

> "Je vous laisse à vos ignorances euro-régionales." => relents ségrégatifs, non ?
Mais passons, nous avons l'habitude ! Je vais (apparemment) apporter de l'eau à votre moulin en ajoutant Chateaubriand à Marivaux et vous poser simplement une question à propos de :
> "Je ne sache pas qu'il faille grammaticalement ségréguer les peuples imaginaires..."
Le 08 juillet 2013
Je tiens, à tort ou à raison, pour barbare ou, à tout le moins, incorrect, ce début de phrase que j’entends parfois : « Je ne sache pas que ... ».
Il me plairait de savoir ce qu’il en est exactement. Grand merci à vous de bien vouloir m’éclairer. Dominique M. (Nice)
L’Académie répond :
Cette forme n’est pas incorrecte ; elle est vieillie ou littéraire et signifie Je suis certain que. On trouve ainsi, dans la correspondance de Chateaubriand : « Je ne sache pas que jusqu’à présent, on eût jamais vu en France, sous la monarchie légitime, des chambres, des ministres responsables, un budget… »
On emploie en effet, dans une langue soignée le subjonctif présent à la première personne du singulier quand le verbe porte sur une restriction, une affirmation ou une négation atténuée.
Quel effet recherchiez-vous dans votre commentaire : le style littéraire d'une langue soignée ? Une tournure surannée, peut-être (vu le niveau, aujourd'hui ...) ? Un rien de pédantisme rehaussé de pédanterie ? Le moins qu'on puisse dire, dans ce dernier cas, est que vous êtes bien loin d'avoir "lamentablement échoué", quant à vous.
Au plaisir de vous lire ...

>Quel effet recherchiez-vous dans votre commentaire : le style littéraire d'une langue soignée ? Une tournure surannée, peut-être (vu le niveau, aujourd'hui ...) ? Un rien de pédantisme rehaussé de pédanterie ?
évidemment, vous avez orienté la question en omettant la seule raison, déjà invoquée et validée par l'Académie : « On emploie en effet, dans une langue soignée le subjonctif présent à la première personne du singulier quand le verbe porte sur une restriction, une affirmation ou une négation atténuée »
Dans mon cas, et comme je l'ai précédemment indiqué, il s'agissait poliment d'atténuer la négation.
Je suis ravi que l'Académie, après Marivaux, valide ma pratique du subjonctif dubitatif. Cela me conforte dans ma pratique. Je vais l'employer d'autant plus souvent...
À vous, il ne restera que la stupéfaction et le doute !

Ce fut un plaisir de vous lire, comme à l'accoutumée, et d'apporter de l'eau à votre moulin, comme je l'ai déjà fait parfois, sans rien éluder et tout en restant sur mes positions.
Mais j'observe que vous vieillissez : où sont les insultes nauséabondes dont vous avez gratifié tant de vos correspondants ?
Attention encore : vous n'allez pas tarder à vous faire à vous-même le reproche que vos commentaires sont plus longs que vos ajouts et traductions (diarrhées verbales, disiez-vous en un temps, non ?)
Bonne continuation ...

Vous avez mauvaise mémoire, et le premier à insulter l'autre, ce fut vous, parce que vous n'aviez pas apprécié que j'affirmasse que vous germanisiez, cher Monsieur. Germaniser vous faites bien parfois, pourtant, comme moi j'anglicise. On est influencé par les langues que l'on parle, et on a beau être vigilant, on calque plus souvent qu'il ne faudrait.
Oui, les longs commentaires sont souvent de la diarrhée verbale. Je n'ai pas le record, loin s'en faut. Ce qui se conçoit bien s'exprime clairement...et en peu de mots.

"évidemment, vous avez orienté ... " => quant à vous, vous êtes à contre-courant, c'est à dire à contre-vérité ("le premier à insulter l'autre" ...) soit dit en peu de mots.
"Le papier se laisse écrire, la toile aussi"
Heureusement, j'ai conservé les commentaires et même demandé à ce qu'on ne supprime plus certains d'entre eux, car d'aucuns ont la faculté de retourner les choses à leur avantage.
Si ma mémoire est aussi bonne qu'à l'ordinaire, j'ai surtout pris parti en faveur de plusieurs de vos contradicteurs, non pour le simple plaisir de vous donner tort, car personne n'est à l'abri d'une erreur, mais pour que les utilisateurs de Tatoeba puissent continuer à se fier à ce que le site propose.
J'ai d'autant moins eu plaisir à vous contredire - a fortiori à vous "insulter" comme vous le prétendez - que vous avez accompagné mes premiers pas en me fournissant des liens bien utiles ou quelque conseil avisé, ce qui fut balayé par le ton trop souvent adopté par la suite.
Autant en emporte le vent ...

>Heureusement, j'ai conservé les commentaires et même demandé à ce qu'on ne supprime plus certains d'entre eux, car d'aucuns ont la faculté de retourner les choses à leur avantage.
Alors là, vous tombez fort mal, car je suis un des principaux ennemis de ceux qui s'amusent à effacer ou modifier leurs commentaires, ce que je ne fais jamais (je corrige parfois l'orthographe de mes commentaires, et je ne le fais qu'avant que quelqu'un y ait répondu). J'ai d'ailleurs applaudi l'introduction de la fonctionnalité consistant à indiquer les modifications de commentaires.
Je déteste qu'on supprime des commentaires, ce qui rend les échanges complètement insensés. Le grand champion de cette technique est CK/CM/CH...avec qui il est inutile de débattre, car lorsqu'il a tort, il efface ses commentaires, de façon à ne laisser aucune trace.

À quoi bon citer le nom d'autres contributeurs de Tatoeba ?
Personnellement, je n'ai eu maille à partir qu'avec un certain "Sacredceltic".
Et cela suffirait (parfois !) à vous dégoûter de participer à ce projet, n'était le plaisir qu'on prend par ailleurs.

Ne m'accordez pas tant d'importance, c'est embarrassant !

Quelle importance de ma part ? Mais on peut bien comprendre que vous soyez embarrassé, en effet !
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